les mutants

Alessandro nous arrive tout droit d’Italie. D’où son léger accent latino qui en a fait fondre plus d’une à son arrivé. Le joli blond est né dans une grande famille italienne, bien que son père à l’origine soit un expatrié américain qui a décidé de fuir son pays d’origine suite à des fraudes fiscaux. Alessandro a vécu toute son enfance à Naples avec ces deux jeunes sœurs et ses parents. A l’école, il n’était pas spécialement brillant et se montrait violant avec ces camarades. C’est avec l’âge qu’il apprit à dompter ses muscles en laissant place à un autre point de sa personnalité : son charisme. Se rendant rapidement compte de ses talents à vendre un tout comme un rien, Alessandro n’a jamais négligé le fait qu’il plaisait. Il avait d’abord commencé dans l’entreprise familiale, jusqu’au jour où son père une lettre du centre de Brugee ne débarque. Bien que l’idée n’enchantait pas sa mère, son père lui insistant manifester une grande fierté de voir son fils entrer dans le centre le plus prestigieux de son pays. C’est d’ailleurs lui qui la convaincu de s’y rendre.

Nathaniel. Quelle jeune fille n'a jamais entendu parler du beau jeune homme, charmeur à souhait? Oui, Nathaniel ne passe pas inaperçu. Beau comme un dieu, fils de Marcus Turner, le célèbre acteur, le jeune homme est habitué à la facilité. Obtenir ce qui lui fait envie, quand il en a envie est plus un mode de vie qu'autre chose. Un claquement de doigts et il l'obtient. Avec les demoiselles, tout ceci est un peu plus subtile. Les charmer, les envoûter. Il y prend beaucoup de plaisir. Car c'est bien l'unique partie de la relation qui lui plait, mis à part les parties de jambes en l'air qui s'ensuivent peut-être. Le jeune homme n'est pas très doué pour les relations sérieuses. Enfin, il n'a pas envie d'être doué dans ce domaine. Il ne se considère pas comme un "mauvais garçon". Il aime les jeunes filles. Elles lui en demandent juste trop. Trop? Oui. Jusqu'à ce que sa route croise celle de Dolce. Cette jeune fille l'intrigue énormément. Peut-être parce qu'elle résiste aux plus habiles méthodes de dragues du jeune homme? Il y croit. Car il ne veut pas croire que les nœuds qu'il ressent à l'estomac quand il la voit ont une autre signification.

Tout à commencé lorsque son père, chef d’une grande entreprise se maria avec Nathalia. Par le biais de ce coup de foudre, ils ont donné naissance à Edward. Petit garçon n’ayant jamais eu besoin de rien. Ce qu’on appelle familièrement : Un gosse de riche. Fréquentant les meilleures écoles, malgré ces notes catastrophiques et son comportement médiocre son avenir était déjà tout tracé. Son arrogance étant au plus haut point, il fut vite ramené à la dure réalité lorsque ses parents lui annoncèrent qu’il irait au centre de Brugee. Dès son arrivé, il se fera remarqué par son attitude impitoyable. En effet, si certains sont agacés par leur pouvoir, lui au contraire y trouve un certain amusement. Il n’hésite pas à déshabiller du regard les filles, avec ou sans leur consentement. Et pour lui, plus besoin de frapper au porte, il suffit de les traverser. Elle est pas belle la vie ?

Steven Lewis, venant de Boston et ayant eu une éducation des plus stricte. Son père a servit dans la marine jusqu’à son grave accident lui ayant coûté son pied il y a de cela douze ans. C’est lui qui l’a élevé, lui enseignant la discipline et le respect d’autrui. A croire que cela n’a servit à rien, à ses 18 ans, le jeune châtain ne pouvant plus supporter l’autorité parentale, plis affaires et bagages et se rend dans le centre pour jeune le plus proche. Il y restera seulement quelques mois, décidant enfin à se ligoter un petit job, histoire de pouvoir se payer une petite chambre lui servant de foyer. Un soir, alors qu’il rentrait de ces cours du soir, il tombe sur une lettre lui étant adressé du centre de Brugee. D’abord, il a pensé à un canular, mais il en reçu une seconde suite à la non-réponse donnée. Il se rendra donc, jusqu’à Washington avec le peu d’argent qu’il avait mis de côté. Alors qu’il croyait que le cauchemar touché à sa fin, il apprit rapidement qu’en ne métrisant pas sa rancune, il devient invisible. Cela étant, il ne faut pas penser que Steven est un déprimé de la vie, bien au contraire, malgré ses problèmes il est constamment à faire le pitre. Ennuyé ses camarades, et en technique de drague, il en connaît un rayon. Par contre, en cours ce n’est pas trop ça.